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Le diagnostic du cancer est d’abord un grand choc pour vous et vos proches. L’inquiétude, l’angoisse et bien d’autres émotions sont tout à fait compréhensibles dans cette situation, car vous devez désormais relever les défis d’un traitement contre le cancer.
Cependant, non seulement le traitement du cancer en lui-même, mais aussi de nombreuses mesures complémentaires, jouent un rôle important dans votre parcours thérapeutique. Ainsi, une alimentation équilibrée et riche en nutriments peut atténuer les effets secondaires du cancer, prévenir les complications et améliorer votre bien-être pendant le traitement.
Nous vous donnons ici un aperçu plus précis de l’alimentation en cas de cancer, nous vous expliquons comment une carence alimentaire liée au cancer peut survenir, comment identifier une telle carence et ce que vous pouvez faire en cas de carence alimentaire liée au cancer.
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Symptômes nutritionnels liés au cancer
Au stade précoce du cancer, les symptômes sont généralement rares. Il s’agit le plus souvent de symptômes non spécifiques (p. ex. fatigue, fièvre, douleur, etc.) pour lesquels il n’y a pas de suspicion de cancer. Cependant, il est important d’identifier les premiers signes avant-coureurs, de les prendre au sérieux et de demander un avis médical. Par la suite, les patient·es peuvent souffrir d’autres symptômes, p. ex.:
- perte d’appétit
- nausées et vomissements
- perte de poids involontaire
Les autres symptômes (comme des boules palpables dans le corps, des altérations cutanées, des troubles neurologiques) dépendent du type de cancer ou de la zone touchée.
Perte de poids en cas de cancer
Beaucoup de patient·es ayant un cancer éprouvent des difficultés à se nourrir de manière adéquate et équilibrée, ce qui entraîne souvent une carence alimentaire. Une carence alimentaire peut entraîner un affaiblissement flagrant de l’organisme à mesure qu’elle progresse. Souvent, une cachexie cancéreuse se développe, accompagnée d’une inflammation massive, ce qui accélère considérablement la perte de masse musculaire. Cette situation est très pesante pour les patient·es et leurs proches.
Carences alimentaires dans le cancer
La carence alimentaire liée au cancer a de nombreuses causes différentes. Deux facteurs importants dans l’apparition de la carence alimentaire sont un changement dans le métabolisme de l’organisme et un apport alimentaire insuffisant.
La modification métabolique est déclenchée par le tissu tumoral lui-même. Il produit des substances (p. ex. des cytokines), qui déclenchent un processus inflammatoire dans l’organisme et modifient le métabolisme des protéines, des graisses et des hydrates de carbone. Cela aboutit à une perte de poids accrue et à une carence alimentaire.
L’absorption insuffisante d’énergie et de nutriments chez les patient·es ayant un cancer peut s’expliquer par de nombreux facteurs différents. Ainsi, le cancer en lui-même peut entraver l’absorption de nourriture, par exemple en cas de tumeur de la tête et du cou. En outre, au moment du diagnostic, beaucoup de patient·es souffrent déjà de troubles (p. ex. perte d’appétit, sensation de satiété prématurée, sécheresse buccale, diarrhée) qui affectent la prise alimentaire.
Mais les effets secondaires des mesures thérapeutiques peuvent également avoir une incidence négative (supplémentaire) sur l’apport alimentaire ou sur l’assimilation des nutriments. La chimiothérapie peut être associée à des effets indésirables tels qu’une perte d’appétit, des nausées et des vomissements. Lors du traitement des tumeurs de la tête, du cou et du haut de l’abdomen, la chimiothérapie et la radiothérapie peuvent entraîner une inflammation de la muqueuse buccale (mucite) et des troubles généraux de la déglutition. La radiothérapie pratiquée dans la partie inférieure de l’abdomen peut entraîner des lésions de la muqueuse intestinale (entérite d’irradiation) entraînant des diarrhées et des troubles de l’assimilation des graisses.
Étant donné qu’un mauvais état nutritionnel nuit à la fois à la qualité de vie, à la réussite du traitement, et donc au pronostic des patient·es, les sociétés médicales spécialisées recommandent d’examiner l’état nutritionnel à un stade précoce, ainsi que d’avoir recours à des conseils diététiques professionnels et à une thérapie nutritionnelle.
Reconnaître une carence alimentaire en cas de cancer
Plus tôt une carence alimentaire liée au cancer est détectée, plus vite il est possible de la combattre. Notre bilan nutritionnel peut vous être d’une aide précieuse. Parlez des résultats à votre médecin. Accès au bilan nutritionnel
De plus, vous ou vos proches devez contrôler votre poids régulièrement afin de détecter rapidement toute perte de poids. Il est également recommandé de calculer l’indice de masse corporelle (IMC). L’IMC détermine le poids corporel par rapport à la taille.
La formule de calcul est la suivante: IMC = masse en kilogrammes divisée par le carré de la taille en mètres (kg/m2). Selon la définition de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les sous-catégories suivantes s’appliquent:
- Un IMC inférieur à 18,5 kg/m2 indique un poids insuffisant.
- Un IMC de 18,5 à 24,9 kg/m2 correspond à un poids normal.
- Un IMC supérieur à 24,9 kg/m2 indique généralement un surpoids.
Mais même avec l’IMC, l’état nutritionnel ne peut pas être complètement évalué. En effet, il n’indique pas, par exemple, si une perte de poids se fait au détriment de la masse grasse ou de la masse musculaire. Ce dernier point est cependant très important pour le pronostic.
Les sociétés spécialisées recommandent également de rechercher une carence alimentaire chez les patient·es ayant un cancer au moment du diagnostic et au moins toutes les quatre à huit semaines par la suite. Les médecins et les nutritionnistes utilisent souvent le questionnaire standardisé MUST (MUST, vient de l’anglais «Malnutrition Universal Screening Tool»), qui permet également d’évaluer de manière fiable le risque de carence alimentaire.
Il y a une carence alimentaire liée à la maladie lorsque l’un des critères suivants est rempli:
- Indice de masse corporelle (IMC) inférieur à 18,5 kg/m²
- Perte de poids involontaire de 10 % ou plus au cours des 3 à 6 derniers mois
- IMC inférieur à 20 kg/m² et perte de poids involontaire supérieure à 5 % au cours des 3 à 6 derniers mois
Thérapie nutritionnelle en cas de cancer
Si vous recevez un diagnostic de cancer, surveillez votre poids et veillez surtout à le stabiliser ou, si possible, à reprendre du poids si vous en avez perdu. Si vous avez des problèmes alimentaires, demandez immédiatement un avis médical.
Recevoir des conseils nutritionnels spécialisés représente une aide précieuse, dont les coûts sont souvent pris en charge par la caisse maladie. Toutefois, pour que les coûts puissent être pris en charge, les spécialistes de la diététique doivent posséder une qualification reconnue par l’État. C’est notamment le cas des spécialistes ci-dessous:
- Nutritionnistes diplômé·es
- Diététicien·nes
- Médecins titulaires d’un titre de formation continue en médecine nutritionnelle en cours de validité
La thérapie nutritionnelle en cas de cancer comprend des mesures appropriées pour améliorer votre état nutritionnel. L’alimentation seule ne peut pas influencer la croissance tumorale, mais les chances de réussite d’un traitement anticancéreux dépendent toujours de l’état général et donc aussi de l’état nutritionnel des patient·es.
D’une manière générale, un apport optimal en nutriments soutient le système immunitaire ainsi que l’état physique et mental. Dans le même temps, la tolérance au traitement et la qualité de vie peuvent être améliorées. Les mesures nutritionnelles en cas de cancer se complètent étape par étape, mais peuvent aussi être combinées:
Étape I: alimentation diversifiée, équilibrée et riche en énergie
En cas de cancer, l’organisme doit recevoir des nutriments adaptés à ses besoins. Une alimentation diversifiée et équilibrée convient parfaitement à cet effet. Si vous éprouvez des difficultés à consommer des quantités suffisantes, vous devriez manger des aliments particulièrement riches en énergie, par exemple des aliments comportant toute leur matière grasse plutôt que des aliments allégés. Le cas échéant, les repas peuvent également être enrichis spécifiquement.
Étape II: aliments buvables en cas de cancer
Lorsqu’une alimentation adaptée aux besoins ou l’enrichissement de celle-ci par l’alimentation normale n’est plus possible, les déficits peuvent être comblés par des aliments buvables médicaux. Ceux-ci contiennent beaucoup de calories et de nutriments dans un faible volume et sont généralement consommés en plus d’un régime alimentaire normal.
Étape III: aliments pour sonde en cas de cancer
Lorsqu’il n’est plus possible d’absorber de nourriture par voie orale, par exemple en raison d’un cancer dans cette région ou d’effets secondaires du traitement, il est possible d’acheminer la nourriture dans le tube digestif à l’aide d’une sonde. Il existe des aliments pour sonde dont la composition permet de répondre de manière optimale aux besoins énergétiques et nutritionnels accrus en cas de cancer. La nutrition à l’aide d’une sonde garantit un apport fiable de manière simple et peut améliorer le bien-être.
Les régimes spéciaux contre le cancer sont-ils utiles?
Une alimentation équilibrée et saine joue un rôle important dans la prévention de certains cancers. Les sociétés médicales spécialisées ont rassemblé ce qu’elles considèrent comme une alimentation équilibrée et saine dans une liste en 10 points.
D’autre part, une alimentation équilibrée et adaptée aux besoins peut aider au cours du traitement. Toutefois, on ne sait pas s’il en va de même pour les régimes dits anticancéreux, dans lesquels certains aliments sont généralement recommandés en cas de cancer et d’autres interdits. Les données des études sur l’efficacité sont généralement inexistantes ou contradictoires. Il existe également un risque de déficits nutritionnels supplémentaires avec les régimes non diversifiés. Les nutritionnistes et les sociétés médicales spécialisées ne recommandent donc pas les régimes anticancéreux.
Soutien précieux pour votre thérapie nutritionnelle
Votre médecin vous recommandera d’adapter votre régime alimentaire en cas de cancer chaque fois que vos besoins en énergie et en nutriments ne seront plus couverts par votre régime alimentaire habituel. La thérapie nutritionnelle sur ordonnance médicale, par exemple au moyen d’aliments hyperénergétiques buvables et pour sonde, peut alors devenir un élément important de votre traitement global.
Depuis près de 100 ans, nous mettons au point des produits Nutricia pour la nutrition médicale, adaptés aux besoins nutritionnels les plus variés. Pour l’alimentation en cas de cancer, nous fabriquons également des aliments pour sonde et buvables spéciaux. En nous appuyant sur notre grande expérience dans le domaine de la thérapie nutritionnelle médicale, nous sommes également personnellement à vos côtés et vous conseillons de manière exhaustive au sujet des aliments buvables et pour sonde ainsi que de l’alimentation adaptée aux besoins en cas de cancer.
Les aliments buvables de Nutricia offrent plus d’énergie et de nutriments en cas de cancer
La marque Nutrison se compose d’une large gamme d’aliments pour sonde adaptés au traitement diététique en cas de diminution de la consommation alimentaire par voie orale ou de carence due à une maladie. Nos produits contiennent tous les nutriments essentiels, c’est-à-dire des lipides, des hydrates de carbone, des vitamines, des minéraux et des oligo-éléments en plus des protéines. Notre alimentation par sonde est entièrement équilibrée, c’est-à-dire qu’une alimentation complète en cas de cancer est assurée par nos produits et qu’ils peuvent être utilisés pour l’alimentation exclusive si nécessaire.
En général, 1 à 3 flacons par jour en plus d’un repas normal peuvent aider à empêcher une perte de poids involontaire en cas de cancer. Les aliments buvables hyperénergétiques, comme Fortimel, peuvent lutter efficacement contre la carence alimentaire. Malgré leur faible volume, ils contiennent beaucoup de nutriments et sont donc particulièrement adaptés aux patient·es qui ont des difficultés à consommer de grandes quantités.
Pour les patient·es souffrant de troubles de la déglutition, nous proposons également nos produits de la marque Nutilis. Il s’agit d’aliments pour sonde qui facilitent la déglutition, empêchent l’étouffement et rendent ainsi la consommation d’aliments plus sûre.
Les aliments pour sonde ne peuvent être administrés qu’avec les moyens appropriés. La méthode d’administration de Nutricia de la marque Flocare est par conséquent adaptée à notre alimentation par sonde. De cette manière, nous pouvons garantir le plus haut niveau de sécurité possible lors de l’administration des aliments. Ici, vous trouverez un aperçu de la vaste gamme de produits dans le domaine de la technique d’application.
Matériel de service et assistance personnelle
Si vous souhaitez aider votre médecin, vous trouverez ici notre Passeport pour patient·es à télécharger. Contrôlez régulièrement votre poids et saisissez vos données dans votre passeport. Il s’agit d’indications importantes pour votre médecin afin de détecter rapidement une carence alimentaire. Cela lui permettra de décider plus rapidement s’il est judicieux d’adapter votre régime alimentaire. Lisez également nos témoignages pour savoir ce qu’ont vécu d’autres personnes concernées.
Conseils nutritionnels en cas de cancer
Un traitement anticancéreux peut provoquer des effets secondaires qui affaiblissent davantage la personne concernée et compliquent la lutte contre la carence alimentaire. Dans de telles situations, il s’agit d’atténuer l’ampleur du phénomène. Avec vos médecins, thérapeutes ou diététicien·nes, vous pouvez faire beaucoup de progrès pour retrouver des forces. Ci-dessous, nous avons rassemblé quelques conseils pour vous sur les aliments qui peuvent aider en cas de cancer et de chimiothérapie.
- Pour lutter contre les nausées et les vomissements, il existe un certain nombre de médicaments (appelés antiémétiques) que les médecins peuvent prescrire. En outre, il existe des preuves selon lesquelles l’acupuncture peut permettre de prévenir les nausées et les vomissements.
- Les médicaments à base de cannabis semblent soulager les nausées et les vomissements. Cependant, de nombreuses questions restent en suspens concernant l’utilisation de ces préparations. Parlez-en à votre médecin.
- Le gingembre est un remède éprouvé contre les nausées et les vomissements. Cependant, son efficacité n’est pas toujours suffisante en cas de cancer et de traitement anticancéreux.
- En cas de facteurs psychologiques comme le stress et l’anxiété, des mesures de relaxation peuvent être utiles.
- Veuillez parler avec votre médecin avant de prendre des médicaments à base de plantes, des tisanes «médicinales» ou des compléments alimentaires. Ces produits peuvent contenir des substances qui interagissent avec vos médicaments anticancéreux et réduisent leur efficacité et/ou leur tolérance.
- Buvez au moins 2 à 3 litres par jour pour compenser la perte de liquide. L’eau chaude, le thé et le bouillon de légumes sont bien tolérés.
- Les myrtilles, le psyllium blond, le cacao, le thé noir, le thé vert et le chocolat amer ont un effet anti-diarrhéique.
- Évitez les édulcorants et les substituts de sucre, qui ont souvent un effet laxatif.
- Évitez les produits additionnés de lait ou de poudre de lait et consommez de petites quantités de produits à base de lait caillé comme le yaourt, le kéfir ou le fromage blanc.
- N’utilisez que du yaourt pur ou probiotique, car il ne contient pas de lactose.
- Prenez du lait de soja ou du lait sans lactose à la place du lait normal.
- Il est également recommandé de manger des aliments complets légers et des aliments contenant de la pectine. Les aliments riches en pectine, comme les pommes et les bananes, fixent l’eau dans l’intestin.
- Buvez au moins 2 litres par jour.
- Consommez suffisamment de fibres alimentaires pour éviter la constipation. Les fibres alimentaires sont par exemple présentes dans les produits contenant des céréales complètes, les légumes, les salades, les légumineuses, les fruits non pelés et le musli. Augmentez lentement la quantité, sinon vous risquez d’avoir des ballonnements et des douleurs abdominales.
- Procurez-vous des aliments qui sont fermentés à l’acide lactique, comme le yaourt ou la choucroute.
- Mangez des aliments spéciaux qui aident à lutter contre la constipation, comme le son de blé, les graines de lin, les pruneaux (faire tremper pendant la nuit), le psyllium blond, le lactose.
- Évitez le cacao, le chocolat amer, le son de blé sec, les myrtilles, les bananes, les carottes et le thé noir.
- Évitez les aliments difficiles à digérer, en particulier les légumineuses, les herbes, les choux, les aliments frits, les aliments gras et épicés, le pain frais et les pâtisseries.
- Évitez les boissons, les chewing-gums ou les bonbons contenant des substituts de sucre.
- Ne buvez pas de boissons gazeuses comme la limonade, la bière ou l’eau minérale gazeuse.
- Évitez le café en grains et le thé noir.
- Prenez du lait sans lactose ou du lait de soja et de riz.
- Préférez les aliments comme le riz, les pâtes, les pommes de terre, le poisson, les viandes maigres, les fruits mûrs, les fruits à la vapeur, les mangues, les asperges, les carottes et les courgettes.
- Mâchez suffisamment et prenez le temps de manger.
- Préférez les aliments mous, épais et en purée: riz au lait, purée de pommes de terre, flan, viande cuite et hachée, poisson, compote.
- Évitez les aliments secs, croquants et grillés: biscuits salés, corn flakes, crackers, biscottes.
- Mélangez les épaississants en poudre de goût neutre dans les boissons et les soupes.
- Enrichissez les aliments avec de l’huile, de la crème, de la mayonnaise ou du beurre pour faciliter la déglutition de certains aliments.
- Évitez les boissons gazeuses et acides.
- Si du mucus se forme lors de la consommation de produits laitiers, les produits laitiers acides, le kéfir et les boissons au soja sont plus appropriés.
- Prenez suffisamment de temps pour manger.
- Les aliments buvables peuvent également aider.
- Évitez les produits acides, tels que les ananas, les oranges, les citrons, les pamplemousses, les groseilles et les framboises, les cerises, les tomates, les infusions aux fruits, les jus de fruits, les épices fortes ou les produits fortement salés. Mangez plutôt des aliments doux, comme l’avocat et la poire.
- Préférez les aliments épais et évitez les aliments croquants.
- Préférez les aliments mous ou liquides, même les aliments pour bébés légèrement épicés peuvent être consommés.
- Si du mucus se forme lors de la consommation de produits laitiers, les produits laitiers acides, le kéfir et les boissons au soja sont plus appropriés.
- De petites quantités d’eau, de thé et de jus devraient diminuer la sécheresse buccale.
- Gardez toujours les lèvres humides avec une éponge ou un chiffon.
- Un produit de salive artificielle, obtenu en pharmacie, peut également aider.
- L’infusion de menthe poivrée, le thé noir et le café favorisent la sécheresse buccale. Buvez de l’infusion de camomille, de calendula ou de thym.
- Si du mucus se forme lors de la consommation de produits laitiers, les produits laitiers acides, le kéfir et les boissons au soja sont plus appropriés.
- Prenez beaucoup de petits repas et prenez le temps de manger.
- Mâchez du chewing-gum.
- Prenez de petits repas répartis sur toute la journée.
- Prenez suffisamment de temps pour manger.
- Les boissons gazeuses, le café, l’alcool, le thé noir et le chocolat provoquent souvent des brûlures d’estomac.
- Évitez les aliments gras, très sucrés, très épicés ou acides.
- Les noix ou les amandes bien mâchées peuvent diminuer les brûlures d’estomac.
- Ne mangez plus rien au moins 2 heures avant d’aller vous coucher.
- Dormez en position légèrement redressée.